Originale · Planche mycologique du XIXᵉ siècle • Rolland . Amanita mappa et Amanita junquillea
35,00€
Planches mycologiques anciennes – Collection Rolland, Champignons
Planche 4 – Amanita mappa et Amanita junquillea
Je vous propose ici une planche mycologique originale de la fin du XIXᵉ siècle, extraite de l’ouvrage scientifique Rolland, Champignons, publié à Paris par Paul Klincksieck. Ces planches, dessinées avec précision par A. Bessin puis gravées par Lassus, témoignent d’une époque où l’étude des champignons associait observation minutieuse, rigueur descriptive et sens de la beauté naturelle.
Imprimée sur papier vergé d’époque, légèrement ivoire et subtilement patinée, cette illustration conserve le charme intact des tirages du XIXᵉ siècle.
Spécificités de la planche originale – Amanita mappa & Amanita junquillea (Planche 4)
Titre de la planche : Amanita mappa (Très vénéneux) et Amanita junquillea (Suspect)
Numéro : 4
Époque : fin XIXᵉ siècle
Origine éditoriale : Rolland, Champignons – Paul Klincksieck, éditeur à Paris
Dessinateur : A. Bessin
Graveur : Lassus
Technique : lithographie en couleurs, encrage fin et ombrages délicats
Papier : papier vergé au grain fin, tonalité ivoire
État : excellent, patine naturelle, quelques points discrets liés au temps
Dimensions : format standard des planches Klincksieck du XIXᵉ siècle : 16,5 × 25 cm
Statut des espèces : très vénéneux (Amanita mappa) ; suspect (Amanita junquillea) — mentions d’époque
Particularités visuelles
– deux espèces présentées en parallèle pour comparaison morphologique
– nuances jaunes intenses, typiques des amanites toxiques
– étude précise de la volve, du chapeau et des lamelles
– variations de formes : spécimens jeunes (a, b) et adultes (n°5, n°6)
– rendu scientifique clair, silhouettes élancées et ombrages maîtrisés
Pièce unique
Exemplaire authentique du XIXᵉ siècle.
Tirage d’époque, vendu non encadré.
Notes mycologiques anciennes
Dans la littérature mycologique du XIXᵉ siècle :
– Amanita mappa, appelée parfois « amanite panthère jaune », est décrite comme très vénéneuse, en raison de toxines proches de celles des amanites mortelles ;
– Amanita junquillea, espèce plus rare, est alors classée comme suspecte, car sa ressemblance avec plusieurs amanites toxiques rendait sa consommation dangereuse ;
– les naturalistes soulignaient l’importance d’observer la volve en sac, les écailles du chapeau et la coloration jaune, soigneusement représentées dans cette planche.
1 en stock







