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La naissance d’un tripode cacao…

La cabosse de cacao séchée et le fruit qui provient du cacaoyer, du kolatier ou du cupuaçu.

J’aime l’odeur qui se diffuse dans l’atelier lorsque je perce les 3 orifices pour y insérer des tiges en laiton.

L’étape des chaussettes noires est importante, ça termine avec humour la tenue du tripode !

Puis vient le fleurissement avec des végétaux séchés piqués avec soin et patience dans du lichen stabilisé.

Le résultat ne ressemble à rien de comparable dans la nature, mais il interpelle…

Ces « bestioles » végétales sur pattes font appel à l’imaginaire de chacun.